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Moi et le sexe tout en images
17 septembre 2007

28 Les images du numéro commencent par 28

Les images du numéro commencent par 28

Madeleine, l'aristocrate du salon de massage

Récapitulatif : Zéda, la première fois (spécialiste du lavage des couilles et de l'enfilage des capotes), Malika et sa faveur, Inès et sa fougue.

Cette fois, je me dis pourquoi pas Madeleine ?

Comme je les avais toutes vues dans les salons d'accueil, elle me troublait par son silence : alors que toutes parlaient, parlaient, elle disait une phrase de temps en temps.

Un dimanche matin, ne sachant que faire et bien entendu en manque de sexe (ne pas oublier que je vis toujours avec une sorte de nonne qui ne se masturbe même plus, je me rends au salon : seule Madeleine était là.

Elle place un panneau retour dans cinq minutes (sic).

"Et s'il y a des clients ?".

"Rien ne change, s'il y a un obsédé qui vient, ou bien il revient ou il va ailleurs". (Un 2e salon très VIP se trouvait à

300 mètres

). t_1286935

"On ne lâche pas la proie pour l'ombre ; de toutes façons le dimanche, je te mets au courant, c'est généralement sur rendez-vous. "Pourquoi ?".

"C'est réservé en principe à des pratiques différentes auxquelles j'espère que tu participeras au jour".(J'ai participé, j'en parlerai plus tard, c'est très très différent mais extraordinaire, se pratique bien sûr en groupe).

Elle m'offre ma boisson favorite, on ne discute pas le prix "officiel" puisque le tarif est toujours le même pour toutes.

Madeleine est une sorte de fille "aristocrate" utilisant des termes très distingués.

Elle me raconte sa vie en précisant que le compteur n'est enclenché (l'heure et demi).

C'est malheureusement un grand classique : "je me prostitue pour mon fils que j'élève seul. J'ai dû m'enfuir de la maison, mon ex est alcoolique, dans ses crises non seulement il était odieux, il me battait avec des ceintures devant mon fils, m'obligeait à (..censure…). Comme il était ma seule source de revenus, j'ai choisi de me prostituer. C'est une solution facile, rapide mais aléatoire pour gagner beaucoup en peu de temps. Une convention passée avec la patronne me réserve le droit de refuser les clients qui ne me plaisent pas".

On monte. Un corps fascinant, longues jambes fines, tout en proportion, poils pubiens taillés comme un jardin à la française, seins bien constitués, ni trop petits ni trop gros.

Encore plus curieuse que les autres : "Je voudrais que tu essayes de me faire croire à nouveau dans les hommes. Tu  as payé, tu fais ce que tu veux. Je voudrais que tu me fasses l'amour comme un homme qui ne voit pas en moi une pute". Encore une situation inversée !!!

Devant une telle créature, avec de tels termes, on fait tous les efforts possibles pour exaucer son désir. Quand je suis sorti bouleversé, l'heure et demi s'était transformée en 2 1/2 heures, le supplément a été offert.

Merci, merci Paul tu m'as rendu l'espoir.

J'ai bu x verres de bière avant de rentrer chez Anne comme un drogué dans un état second. Ceci se passait en 1998 aussi.

Anne : "Tu ne vas pas bien ?". Ecoute, j'ai été appelé d'urgence au labo, tu comprends ? . "Tu en fais vraiment trop"……………….

(à suivre : Zéda passe à l'attaque.)

L'herpès : une MST s_herppen_kl

L'herpès génital est une maladie sexuellement transmissible causée par le virus Herpes simplex (VHS) de type 1 ou 2. Elle consiste en des démangeaisons, brûlures, petites cloques, plaies au niveau des organes génitaux.

Le traitement consiste en des antiviraux pour diminuer la contagiosité, réduire la douleur, la durée et la fréquence des crises.

Les personnes atteintes demeurent infectées toute leur vie et elles sont pour la plupart asymptomatiques.

L’infection se transmet par voie génitale génitale, orale génitale, orale ou génitale anale.

Les primo-infections sont souvent asymptomatiques.

La période habituelle d’incubation des primo-infections symptomatiques varie entre 2 et 21 jours.

Signes cliniques

            Primo infection

La période d’incubation d’une primo-infection symptomatique varie habituellement entre 2 et 21 jours. L’infection est localisée au niveau des organes génitaux externes, du pubis, du périnée et des régions péri anales ainsi qu’au niveau du col de l'utérus, de l'anus ou de l’urètre suivant le type de contact.

Des problèmes urinaires, y compris les retards à l’initiation de la miction ou une dysurie externe, sont fréquents chez les hommes et les femmes et ils peuvent durer longtemps.

      Infection non primaire

La durée est habituellement moins longue, et il est rare que les symptômes intéressent l’organisme entier. 

           Infection récurrente

La période de latence peut occasionnellement être de plusieurs années chez certaines personnes

           Infection récurrente symptomatique

Elle est due à une réactivation du virus latent.

Les symptômes sont moins graves et durent moins longtemps que dans le cas d’une primo-infection symptomatique.

Les manifestations de l’infection se limitent généralement aux organes génitaux externes et sont unilatérales.

Apport du laboratoire

Pour établir le diagnostic clinique, il faut retrouver les éléments suivants :

des lésions typiques ou atypiques et une culture ou d’autres résultats à des tests diagnostiques spécifiques

La culture demeure la méthode de prédilection à cause de sa spécificité, de sa sensibilité et de sa capacité de typer la souche du virus. Le typage de la souche est souhaitable dans la plupart des cas pour permettre de mieux prévoir les récurrences ainsi que de fournir des renseignements pertinents sur la susceptibilité du partenaire.

     Sérologie

Les épreuves sérologiques spécifiques au type pour indiquer l’exposition antérieure au virus Herpes simplex de type 1 ou 2 ont une application clinique limitée. Elles peuvent être utilisées pour déterminer quand les femmes enceintes qui n’ont pas d’antécédents d’herpès sont à risque.

      Traitements

Seul les traitements oraux sont efficaces.

Primo-infection

Le traitement est utile pour atténuer les symptômes, les complications et l’excrétion du virus, mais il est efficace seulement s’il est administré au début de l’épisode symptomatique.

Naturellement ce texte n'est pas une consultation médicale mais bien un texte scientifique  destiné avant tout à mettre en garde pour consulter au plus vite

DONJON_20louis_20XILe donjon

On parle beaucoup de donjon en BDSM. En fait un lieu où est confiné toutes sortes d'instruments (fouets, lanières, menottes, chaînes, etc..), de "meubles" (croix, poutres, crochets de suspension, cheval d'arçon, voire cages d'enfermement, etc …)

Le donjon n'est malheureusement plus ce qu'il était au moyen âge. Naturellement ; même le Maître/Maîtresse moderne peuvent difficilement acheter un donjon ancien.

Certains appellent donjon une pièce de maison aménagée, un établissement aménagé. Si on a la chance d'avoir une cave voûtée, en briques, on peut cependant donner l'illusion du donjon du moyen âge.

A noter à ce sujet le très bon site : http://www.bdsmcircle.net/philosophieds/donjonzyraetmalcolm3.htm

C'était quoi un donjon :

Il commande les défenses du château et aussi les dehors, est indépendant de l'enceinte de la forteresse car il possède toujours une issue particulière sur la campagne. C'est là ce qui caractérise essentiellement le donjon et est différent d'une tour. Il n'y a pas de château féodal sans donjon.

Les garnisons chassées de la cité, elles se retiraient dans le château ; celui-ci pris, elles se réfugiaient dans le donjon ; le donjon serré de trop près, elles pouvaient encore courir la chance de s'échapper par une issue habilement masquée, ou de passer à travers les lignes ennemies, la nuit, par un coup d'audace. Mais cette disposition du donjon appartenant à la forteresse féodale n'était pas seulement prise pour résister ou échapper à l'ennemi du dehors, elle était la conséquence du système féodal. Un seigneur, si puissant qu'il fût, ne tenait sa puissance que de ses vassaux Au moment du péril, ceux-ci devaient se rendre à l'appel du seigneur, s'enfermer au besoin dans le château et concourir à sa défense ; mais il arrivait que ces vassaux ne soient pas d'une fidélité à toute épreuve. Souvent, l'ennemi les soudoyait ; le seigneur trahi n'avait d'autre refuge que son donjon, dans lequel il s'enfermait avec ses gens à lui. Il lui restait alors pour dernière ressource, ou de se défendre jusqu'à l'extrémité, ou de prendre son temps pour s'échapper, ou de capituler.

En temps de paix, le donjon renfermait les trésors, les armes, les archives de la famille. Le seigneur y logeait avec sa famille, à l'étage noble : le premier étage. Comme il ne pouvait y demeurer et s'y défendre seul, il s'entourait alors d'un plus ou moins grand nombre d'hommes d'armes à sa solde.

Louis XI est incontestablement le Maître de tous les Maîtres BDSM qui pratiquent l'enfermement en cage.

Le plus original des rois Valois, renfermé et sournois, il n'hésitait pas à s'habiller en manant pour interroger lui-même les artisans et commerçants sur l'opinion qu'ils lui portaient. D'un coeur dur et cruel, il allait voir ses prisonniers qu'il avait enfermé dans une cage de fer.

Dans le donjon de Loches  nombre de hauts personnages en occupèrent les cages à partir du XVe siècle. Le Cardinal de

la Balue

qui avait conspiré contre le roi Charles XI et le fit tomber aux mains de Charles le Téméraire, fut emprisonné en 1469 dans

la Tour Ronde.

On raconte que le cardinal fut enfermé dans l'une de ces cages qu'il avait, par ironie du sort, lui-même inventées. On les appelait des "fillettes" à cause de leurs petites dimensions (1,50 x 1,75 m). La nuit, la cage était suspendue à plusieurs mètres du sol pour décourager toute tentative de fuite.

Philippe de Commynes, le fameux historien, fut lui aussi emprisonné à Loches. Il avait trahi Louis XI en embrassant la cause de la faction qui s'était opposée au Roi.

Ludovic Sforza dit le More, duc de Milan, homme de lettres raffiné qui avait été fait prisonnier à la bataille de Novare fut enfermé à Loches. En égard à son rang, Louis XI lui concéda quelques "commodités". Ludovic Sforza décora lui-même les parois et la voûte en berceau de sa cellule avec un heaume, des armes, des étoiles et quelques inscriptions Il resta emprisonné huit ans. La légende dit qu'à peine libéré la vue de la lumière du jour le fit mourir sur place. Dans ces souterrains qu'il nous est encore loisible de visiter on trouve la salle des tortures,  installée à la moitié du XVe siècle par Charles VII, elle conserve encore certains instruments avec lesquels étaient bloquées les chevilles des prisonniers. Ironisant sur la dureté du traitement, une inscription dans

la Tour Ronde

déclare : "Entrez, Messieurs, chez le Roi notre maître".

En BDSM, la cage peut soit enfermer le soumis tout à fait libre de liens, soit y être enfermé dans une positions BDSM (menottes, carcan ou autres, bâillonné, etc…). Paradoxalement il est protégé car on ne peut plus l'atteindre.

Le seul plaisir du dominant étant de le voir immobilisé. J'ai connu un dominant dont le plaisir était de faire l'amour classique devant la cage pour tester la résistance du dominé exité qui tentait de se libérer<;

Le donjon

On parle beaucoup de donjon en BDSM. En fait un lieu où est confiné toutes sortes d'instruments (fouets, lanières, menottes, chaînes, etc..), de "meubles" (croix, poutres, crochets de suspension, cheval d'arçon, voire cages d'enfermement, etc …)

Le donjon n'est malheureusement plus ce qu'il était au moyen âge. Naturellement ; même le Maître/Maîtresse moderne peuvent difficilement acheter un donjon ancien.

Certains appellent donjon une pièce de maison aménagée, un établissement aménagé. Si on a la chance d'avoir une cave voûtée, en briques, on peut cependant donner l'illusion du donjon du moyen âge.

A noter à ce sujet le très bon site : http://www.bdsmcircle.net/philosophieds/donjonzyraetmalcolm3.htm

C'était quoi un donjon :

Il commande les défenses du château et aussi les dehors, est indépendant de l'enceinte de la forteresse car il possède toujours une issue particulière sur la campagne. C'est là ce qui caractérise essentiellement le donjon et est différent d'une tour. Il n'y a pas de château féodal sans donjon.

Les garnisons chassées de la cité, elles se retiraient dans le château ; celui-ci pris, elles se réfugiaient dans le donjon ; le donjon serré de trop près, elles pouvaient encore courir la chance de s'échapper par une issue habilement masquée, ou de passer à travers les lignes ennemies, la nuit, par un coup d'audace. Mais cette disposition du donjon appartenant à la forteresse féodale n'était pas seulement prise pour résister ou échapper à l'ennemi du dehors, elle était la conséquence du système féodal. Un seigneur, si puissant qu'il fût, ne tenait sa puissance que de ses vassaux Au moment du péril, ceux-ci devaient se rendre à l'appel du seigneur, s'enfermer au besoin dans le château et concourir à sa défense ; mais il arrivait que ces vassaux ne soient pas d'une fidélité à toute épreuve. Souvent, l'ennemi les soudoyait ; le seigneur trahi n'avait d'autre refuge que son donjon, dans lequel il s'enfermait avec ses gens à lui. Il lui restait alors pour dernière ressource, ou de se défendre jusqu'à l'extrémité, ou de prendre son temps pour s'échapper, ou de capituler.

En temps de paix, le donjon renfermait les trésors, les armes, les archives de la famille. Le seigneur y logeait avec sa famille, à l'étage noble : le premier étage. Comme il ne pouvait y demeurer et s'y défendre seul, il s'entourait alors d'un plus ou moins grand nombre d'hommes d'armes à sa solde.

Louis XI est incontestablement le Maître de tous les Maîtres BDSM qui pratiquent l'enfermement en cage.

Le plus original des rois Valois, renfermé et sournois, il n'hésitait pas à s'habiller en manant pour interroger lui-même les artisans et commerçants sur l'opinion qu'ils lui portaient. D'un coeur dur et cruel, il allait voir ses prisonniers qu'il avait enfermé dans une cage de fer.

Dans le donjon de Loches  nombre de hauts personnages en occupèrent les cages à partir du XVe siècle. Le Cardinal de

la Balue

qui avait conspiré contre le roi Charles XI et le fit tomber aux mains de Charles le Téméraire, fut emprisonné en 1469 dans

la Tour Ronde.

On raconte que le cardinal fut enfermé dans l'une de ces cages qu'il avait, par ironie du sort, lui-même inventées. On les appelait des "fillettes" à cause de leurs petites dimensions (1,50 x 1,75 m). La nuit, la cage était suspendue à plusieurs mètres du sol pour décourager toute tentative de fuite.

Philippe de Commynes, le fameux historien, fut lui aussi emprisonné à Loches. Il avait trahi Louis XI en embrassant la cause de la faction qui s'était opposée au Roi.

Ludovic Sforza dit le More, duc de Milan, homme de lettres raffiné qui avait été fait prisonnier à la bataille de Novare fut enfermé à Loches. En égard à son rang, Louis XI lui concéda quelques "commodités". Ludovic Sforza décora lui-même les parois et la voûte en berceau de sa cellule avec un heaume, des armes, des étoiles et quelques inscriptions Il resta emprisonné huit ans. La légende dit qu'à peine libéré la vue de la lumière du jour le fit mourir sur place. Dans ces souterrains qu'il nous est encore loisible de visiter on trouve la salle des tortures,  installée à la moitié du XVe siècle par Charles VII, elle conserve encore certains instruments avec lesquels étaient bloquées les chevilles des prisonniers. Ironisant sur la dureté du traitement, une inscription dans

la Tour Ronde

déclare : "Entrez, Messieurs, chez le Roi notre maître".

En BDSM, la cage peut soit enfermer le soumis tout à fait libre de liens, soit y être enfermé dans une positions BDSM (menottes, carcan ou autres, bâillonné, etc…). Paradoxalement il est protégé car on ne peut plus l'atteindre.

Le seul plaisir du dominant étant de le voir immobilisé. J'ai connu un dominant dont le plaisir était de faire l'amour classique devant la cage pour tester la résistance du dominé exité qui tentait de se libérer<;

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