44 Baiser une sportive (suite) Travail des grandes lèvres et du clitoris

Certains lecteurs, puristes, ça existe, auront remarqué une mise en page peu correcte de certains de mes textes. Pour une raison pratique, ils sont écrits en WORD. Il semblerait que le logiciel de transfert de canalblog n'aimerait pas WORD. C'est son droit ; Bogues Bug comme vous voulez. Merci à tous.

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Baiser une sportive (suite)

Elle s’allonge nue sur la table de massage.

« A toi de me masser ».

J’ai mis en « œuvre » tout ce que je savais.

J’ai commencé par « mon classique » :

Ce qui m’a ennuyé, c’est que pendant que je massais ses seins mignons et fermes, elle commençait à se masturber.

J’ai fait gentiment une remarque. Réponse : « Continue, je t’expliquerais après ».

Un peu fâchée, elle se retourne sur le ventre présentant ses fesses taillées dans le roc.

Je commence par ses chevilles, remonte sur les mollets musclés mais souples en les massant de bas en haut.

Elle me dit : « Encore ». Elle avait tourné son visage vers le côté droit : les yeux fermés et un visage serein.

Je lui pétris les fesses (pas facile car très fermes), appuie mes doigts sur sa colonne vertébrale droite comme un I (on pouvait compter les vertèbres).

Je passe au cou.

Elle se lève lentement et comme épuisée, elle montre le tissu de papier de la table de massage ; « Regarde ». Une tache assez volumineuse, qui ne laissait aucun doute sur son origine.

Je n’ai même pas le temps de réagir, j’étais debout, la bite en érection.

Elle la prend en main et commence à la sucer « comme une forcenée ».

Je sens que je vais éjaculer : elle met mon instrument en bouche, ferme la dite bouche emprisonnant mon sexe qui commençait à éjaculer, elle ouvre la bouche après avoir lécher le sperme avec sa langue.

On s’affale toujours à poil dans des fauteuils. Le temps de récupérer et on se rhabille.

« J’ai bien jouis ».

Et la pénétration dans tout ça ?

Explications :

« Depuis que mon dernier mari m’a violé brutalement et que non seulement sa sale bite m’a fait mal, et qu’en plus, bourré, ça ne lui a pas suffit, il m’a attaché et enfoncé le goulot de ses bouteilles de Whisky dans le vagin et l’anus simultanément. C’est pourquoi, je ne veux plus être pénétrée par un sexe masculin.

J’accepte trois doigts dans le vagin et qu’on fasse des mouvements rotatifs avec ceux-ci pour l’anus aussi. »

Si j’avais su, mais trop tard pour recommencer aujourd’hui.

Expérience sans lendemain, elle a continué à me masser les muscles comme si rien ne s’était passé.

P.B.

Le récit n’est pas le fruit de mon imagination, mais bien une réalité à laquelle j’ai participé ou assisté. Seul le nom des personnes a été changé.

Travail des grandes lèvres et du clitoris

Après le travail des seins, passons à un autre endroit sexuellement sensible.

Les « travaux » peuvent se classer en trois catégories :

Le soucis esthétique associé à de nouvelles sensations lors de la pénétration pénienne. Pose de bijoux, d’anneaux qui leur simple vue peuvent provoquer une terrible excitation chez le partenaire. Piercing, barrettes, etc…

Le travail « correctif » : pose d’aiguilles fermant les lèvres pour empêcher la pénétration, percement du capuchon du clitoris, circoncision, etc.. Dans les pratiques extrêmes (voir album), on peut noter un travail à la limite de la torture, utilisation d’étaux, poids, pinces, …mais n’oublions pas que c’est volontaire.

Le travail « médical » : allongement du clitoris et étirement des grandes lèvres.

Je ne parlerai pas ici des pratiques mutilantes telles que l’ablation du clitoris ni de l’infibulation (grandes lèvres cousues), ni des pratiques japonaises pendant la guerre 40-45 (vulve tranchée au sabre, …).

P.B.