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Deuxième visite à la villa

Je m'étais renseigné sur les heures d'ouverture : semaine de 10 à 18 heures (sauf une fois par mois lors de la traditionnelle partouze nocturne), le week-end 12 à 18 h.

En semaine, en théorie, tout le staff était présent sauf celle qui avait congé. Le dimanche deux maximum. (Peu de clients, les" bons pères de famille" étant à la maison !).

Me voilà donc à ma deuxième visite. Je sonne et demande si Zeda est là. Non, en congé. Que faire ? Partir, c'est idiot.

D'ailleurs, on dit d'entrer, la fille qui me reçoit me dit "je peux certainement faire mieux que Zeda". Dans le milieu, la concurrence est rude.

Me voilà, à l'apéro dans le salon quand arrive une grande mince blonde genre Bo Derek (**).  "Je suis la dirigeante de la maison".

Quelques discutions et on ne propose un abonnement all in comme dans les agences de voyages !

Minimum une fois semaine un complet ou 3 partiels, etc...

Prime : à chaque fin de mois invitation V.I.P. à la partouze réservée à des gens triés sur le volet.

Reviens, celle qui m'avait ouvert la porte. On y va.

Cheveux noirs, 1m68, belles cuisses, seins moyens.

Cérémonial de la salle de bain différent : "peux-tu te laver le postérieur et après te rhabiller".

On monte cette fois-ci dans la chambre des songes : murs noirs, obscurité, éclairée aux bougies, avec un fond de musique électronique (Krafwerk).

Séance très différente.

"Je vais te déshabiller". Une certaine logique dans l'illogisme.

Je suis couché sue le lit, elle tire mes chaussures et mes chaussettes, puis me demande m'asseoir sur une chaise. Elle lave mes pieds et m'enfile des sortes de sandales en plastique. Debout maintenant, elle déboutonne ma chemise, elle dégrafe mon pantalon et de me dit de l'enlever.

Spectacle : en chemisette, slip, pieds nus dans des sandales.

A nouveau assis sur la chaise.

Monika à son tour commence à se déshabiller, une sorte de strip tease au son de la musique de fond. Elle arrive au même stade que moi : soutien et slip tangua minimum.

"Elle s'approche de moi : elle tire ma chemisette, mon slip. "Vas sur le lit". Je m'allonge sur le dos. Debout devant moi, elle ôte son soutien et son slip qu'elle lance dans la pièce. Elle reste immobile me faisant admirer son pubis entièrement rasé. Elle s'allonge à côté de moi, elle me masse les couilles. Autant dire que l'instrument commence vite à gonfler comme d'ailleurs les mamelons de seins fermes. (On dit que les putes ne jouissent pas ?).

Elle me masturbe et me dit "moi, je ne pénètre pas mais j'offre autre chose en compensation". Une spécialiste, qui dès qu'elle sent les limites à ne pas dépasser, s'arrange pour faire débander légèrement. Légère pose. "Tu me dis quand tu veux que je m'arrête plus". Ok vas-y pour la finale : elle me masse de plus en plus fort les couilles, sa main droite fait des vas et viens de plus en plus rapides pendant que deux doigts dans l'anus me le masse.

Ce système permet une éjaculation très puissante et un orgasme masculin terrible.

LA MANOEUVRE DU

JARDINIER

Description
Elle est allongée et tourne le dos à son compagnon, debout au bord du lit.
Il se glisse entre ses jambes, soulève ses cuisses pour les amener à hauteur de son bassin, les maintient fermement avec ses mains et approche son sexe de l'orifice vaginal.
Elle prend appui sur ses bras tendus et se laisse pénétrer ; il exerce des mouvements de va-et-vient en faisant aller et venir son bassin.

Impressions
La pénétration est très agréable et profonde. Le scrotum vient régulièrement caresser le clitoris. L'homme apprécie la vision de la croupe féminine offerte, son érection est très stimulée..

Indications
Pénétration délicate si l'excitation n'a pas suffisamment lubrifié le vagin, des préludes fougueux sont indispensables. Une posture intermédiaire très excitante mais relativement athlétique.

A visiter : http://top-kamasutra.com