8 Vie professionnelle et vie privée (suite) La suspension L'union de l'Antilope La position de chevauchement ou d’Andromaque (ma

Vie professionnelle et vie privée (suite)

Les albums photos commencent par 8-

Nous formions dans ce labo un bloc uni, ce qui faisait notre force par rapport à d'autres départements.
Petit à petit, il se mit à se dissoudre. Causes : lassitude de la fornication en groupe, certains se marient et se rangent. Des querelles internes surgissent : que faire quand son chef et soi-même se polarisent sur une même technicienne ? Problèmes !

Il valait mieux, au lieu de la solution de faciliter, prospecter ailleurs.
Comme ma mère et une de mes tantes étaient mortes tragiquement dans l'incendie d'un grand magasin de Bruxelles, mon père s'est retrouvé seul et je suis venu habiter chez lui.

Comme il n'était jamais là, ça ne posait aucun problème.
Il m'invitait souvent dans des bars à "entraîneuses" où il dépensait des sommes énormes. J'en ai profité.
Vu son niveau financier, c'était presque illimité. Je ne payais pas ou plutôt il payait.
Champagne à gogo, filles ayant reçu "l'ordre" de soigner le fils de Monsieur, main bien placée dans mon pantalon (lumières tamisées) et éventuellement "prendre l'air" (une petite pipe discrète dans un local anodin). Le lieu n'étant pas taxé comme lieu de prostitution.

J'ai fini par relouer un appartement. C'est le début des années 1972-73, années de "défilé" de copines.
En moyenne 1 à 2 différentes par mois.
Celles qui me restent en mémoire : (pas de photo pour des raisons de respect de la vie privée, malgré que presque tous mes ébats étaient filmés avec leur accord).

Christine - amoureuse du Liban, partie rejoindre son correspondant, petite classique, brune, minorée, admiratrice de sa grand-mère, poils pubiens blonds (La preuve que ses cheveux étaient teints).

Huguette - véritable pute, maîtresse attitrée d'un homme politique de l'époque, une vraie soumise qui acceptait toutes les formes de relations sexuelles, spécialiste de la fellation, mot favori encore, encore, ... fatiguant ! poils pubiens noir encre.

Maguy - ses longues jambes, jamais de slip, toujours accessible partout, écartait les jambes à la moindre flatterie, pubis rasé. 

Monique - aimant l'ésotérisme, mince, fine, petits seins fermes, aimant les positions acrobatiques du Kama, obsédée par sa sécheresse vaginale (vite résolue), poils pubis taillés artistiquement. A préféré se coltiner avec un industriel.

Jeannine - super snob, très touffue, super nullité au lit.

Danièle - qui à 30 ans avait fait très peu l'amour, difficile de vaincre les toiles d'araignées, adepte du cunni, très clitoridienne, aux cris de jouissance à réveiller tout un quartier,... (À suivre)

La suspension

La suspension fait partie de l'univers du bondage mais faut-il le dire est assez spécialisé et demande un certain équipement.

On peut suspendre :

par les bras, c'est la plus classique, simple, en utilisant des attaches adaptées pour les poignets qui évitent de couper la circulation du sang et de blesser la peau des mains. La soumise est entièrement livrée et peut, par exemple, être fouetté à la fois de face et de derrière.

par les pieds, en utilisant des jambières adaptées pour protéger le talon d'Achille. Cette suspension à l'avantage de laisser le sexe et le cul bien disponibles pour tous usages. La position la tête en bas devient rapidement pénible, le sang s'accumulant dans la tête. Pratique relativement dangereuse qui risque de faire perdre conscience. Doit être brève.

Par la taille

Les suspensions conjointes, par les pieds et par les mains, rappelant alors la capture des animaux sauvages, la personne étant véritablement traitée en objet.

Les suspensions par les parties génitales. Ce sont quasi exclusivement des suspensions partielles, le pénis ou les seins étant très fragiles. La suspension partielle par les seins (en veillant à ce que le poids du corps soit supporté d'une façon ou d'une autre) procure de sensations très particulières chez la femme, au-delà de la douleur, un étourdissement et une sensation de flotter uniques. Les suspensions sont rapidement pénibles et ne peuvent dépasser es quelques minutes. Les marques laissées sont durables.

L'union de l'Antilope

Photos demain

A genoux sur le sol, la femme se redresse en prenant appui contre le bord du lit. L'homme la pénètre par derrière, dressé sur les genoux.

Variante : la femme peut soit garder ses jambes ouvertes, en les plaçant de part et d'autre de celles de son partenaire pour offrir une ouverture vaginale maximale, soit fermer ses cuisses l'une contre l'autre pour comprimer le vagin et bien enserrer la verge
 

Avantages : Bonne stimulation des parois frontales du vagin et du point G.

Possibilité pour l'homme de stimuler le clitoris et les seins de sa partenaire

La femme peut fantasmer plus facilement sur des partenaires imaginaires.

  La position de chevauchement ou d’Andromaque (ma préférée)

L'homme s'allonge sur le dos tandis que sa partenaire s'agenouille au dessus de lui et entoure ses cuisses avec les siennes. Elle contrôle l'amplitude du mouvement verticalement et horizontalement pour maximiser les sensations sur son clitoris et ses parois vaginales ou pour mener rapidement l'homme à l'orgasme.

Avantages :

La femme est plus libre et plus active : elle choisit le rythme, la vitesse et le type de mouvement.

L'homme, restant passif, peut se concentrer sur les sensations et le plaisir tout en caressant le dos de sa partenaire. Peu fatiguant pour l’homme, ne pas s’endormir.