Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Moi et le sexe tout en images
21 novembre 2006

4 La vie à l'université De la flagellation comme méthode aphrodisiaque L'arbre défendu ou le 69 des acrobates Cagoules et baillo

Sommaire

La vie à l'université

De la flagellation comme méthode aphrodisiaque

L'arbre défendu ou le 69 des acrobates

Cagoules et baillons en BDSM

La vie à l'université

D'abord un petit retour en arrière : j'ai oublié de dire d'avant mes 18 ans comme beaucoup de jeunes la seule possibilité d'un peu de liberté c'était d'aller au cinéma, pour voir un film intéressant ? que nenni, peu importait le film. Il y avait beaucoup de cinémas de quartier à Bruxelles. La séance durait 1h30 quand le film ne cassait pas.

Dans le noir les mains baladeuses avaient fort à faire. C'est là qu'on les promenait entre les cuisses. On découvrait sa copine : sans slip signifiait vas-y avec, pas trop vite mais généralement il suffisait d'insister. Les boutons de la braguette étaient vite ouverts et la fille s'emparait de l'instrument dont je vais parler dans ce numéro.
Après la séance les "ouvreuses" ouvraient les sorties de secours car on peut deviner l'odeur de la salle.

La sexualité à l'université ce n'était pas ce que croyez. Les étudiantes de la faculté des Sciences étaient peu intéressées par la chose et d'ailleurs peu nombreuses. Bizarre n'est-ce pas ?
Beaucoup de frigides (à 18 ans), beaucoup de refus au dernier moment "fatidique", la peur de la pénétration (?).
Enfin pour un presque libéré le parcours du combattant.


Jalousie, concurrence et il faut le dire sélection des mecs du genre tes parents gagnent combien ? Font quoi ?
Les maisons de passe n'étaient pas abordables pour les étudiants pauvres.
Mon père chef de la raffinerie ESSO, nous habitions une villa à 4 chambres ; ma première voiture à 18 ans (âge légal pour conduire).
J'ai beaucoup visité les endroits déserts de la campagne. Mes premières relations sexuelles profondes s'y sont déroulées. Si ma Ford de l'époque pouvait parler elle vaudrait une fortune
.

Bien sûr il n'y avait pas que les filles de la fac des Sciences. Mais à part au mess de la Cité les facs étaient très cloisonnées.
Parmi les plus portées sur le sexe les filles de Droit et de Philo.
Comme je l'ai dit, à l'époque la voiture était un instrument non négligeable pour la drague


Après une prospection de quelques semaines, et quelques babioles par-ci par-là des mains baladeuses dans le pantalon des demoiselles (beaucoup mettaient des pantalons (ceinture de chasteté ?) ou plus facile jupe relevée pour une introduction des doigts dans le vagin, un petit frottement clitoridien enfin je" tombe" sur une étudiante en Chimie.

Le sexe n'est pas une réponse. Le sexe est une question. Et la réponse est : "oui". (Steve Martin)

Les hommes ne pensent qu'au sexe. Certains le disent, ils sont rares (D. Robert)

De la flagellation comme moyen aphrodisiaque (2e partie)

En résumé, la flagellation a été vantée par un grand nombre de médecins anciens et modernes, comme très efficace, non seulement dans l’atonie des organes génitaux, mais encore dans plusieurs affection de la peau et du tissu cellulaire sous-cutané ; ils prétendent même qu’elle est un puissant remède contre la maigreur, et l’ordonnent aux personnes maigres qui veulent acquérir de l’embonpoint.

Pour compléter l’histoire de la flagellation ; nous dirons un mot sur les processions des flagellants qui couraient les rues, il y a quelques siècles, en se frappant à coups de fouet. On ne saurait trop déterminer le but de ces pratiques empruntées aux lupercales de la Rome ancienne ; quelques rares apologistes affirment que c’était dans un but de piété ; mais les philosophes ont clairement démontré que, nées de l’ignorance et du fanatisme de ces époques, les processions des flagellants furent un sujet de désordres et de scandales. En effet, la flagellation étant reconnue comme un excitant génital des plus énergiques, n’était-il pas déraisonnable de laisser adopter cette coutume à des sectes religieuses qui faisaient vœu de chasteté ?

Ce fut en 1200 que la flagellation s’introduisit dans le culte catholique, et voici comment : un certain Rainier, touché des maux que répandaient sur l’Italie les factions des Guelfes et des Gibelins, et y voyant une punition de Dieu, crut qu’il pourrait désarmer la colère divine en se fouettant.

La colère divine ?... n’est-ce point blasphème ou folie que de prêter à Dieu nos petites passions ? Aujourd’hui un homme de cet acabit serait enfermé aux petites-maisons ; le treizième siècle en fit un saint. Encouragés par l’exemple de Rainier, une foule de fanatiques se fouettèrent jusqu’au sang, et il n’y eut bientôt plus assez de verges pour fournir à la multitude des fouetteurs et des fouettés.

C’est à dater de ce moment que s’organisèrent les sectes de flagellants qui couraient les rues en s’administrant la punition réservée aux écoliers récalcitrants. L’homme qui se distingua le plus dans cette bizarre pratique fut, sans contredit, saint Dominique, dit l’encuirassé.

A suivre

Extraits d'un texte médical du XIXe siècle

L’arbre défendu ou le 69 des acrobates

Cette position est comme je le disais acrobatique et n'est pas à la portée de gens peu souples ou obèses.

L’homme fait le poirier, appuyé sur la tête et sur les mains, les jambes en l’air. La femme s’agenouille face à lui, et son visage est juste à la bonne hauteur.

Avec ses mains, ou en enlaçant le corps de l’homme, elle l’aide à se maintenir en équilibre. Bien sûr, la position est parfaitement réversible, la femme faisant le poirier, l’homme agenouillé ; beaucoup d’hommes adorent afin de pouvoir plonger la tête dans ce pubis offert.

Dans cette position, les adeptes de la jouissance alternée seront  comblés. Quant aux fanatiques du plaisir simultané, ils peuvent introduire une variante afin de ne pas être frustrés.

Il suffit que l’homme, placé la tête en bas, s’appuie des fesses et des pieds contre un mur de la pièce, et repose sur le sol par les épaules et le haut du dos. La tête est alors suffisamment avancée pour être sous le sexe de la femme accroupie : et l’étreinte plaquera l’homme contre le mur.

Cette position n’a pas comme seul intérêt de faire plus compliqué alors qu’on peut réaliser un 69 plus simplement : les tensions musculaires qu’elle entraîne, ainsi que le caractère provocant des situations augmentent notablement l’excitation et la jouissance obtenues.

Baillons et cagoules en BDSM

Dans le milieu du BDSM, un bâillon est un objet qui permet de priver le soumis de la parole.

Chez certains soumis, le fait de porter un bâillon exacerbe le sentiment d’impuissance, et désirent être bâillonné pour cette raison. En effet, privé de parole, le soumis ne peut communiquer ses sentiments. Pour cette même raison, le dominant place un bâillon dans la bouche du soumis pour étouffer ses cris de douleur. De plus, le bâillon à une connotation de contrôle et de punition, comme une muselière pour un chien. Tous ces paramètres sont utilisés comme une forme d’humiliation du porteur.

Les cagoules de bondage

Elles sont généralement particulièrement serrantes, soit en cuir soit en caoutchouc.

On note différents types de fermetures : à tirette,  à lacets qui permet de la serrer encore plus fort pour augmenter l'effet. Certaines ont des orifices pour les yeux et la bouche, d'autres pas. Bien sûr un orifice pour le nez est obligatoire. Dans ce jeu, l'attention du dominant doit être de tous les instants,  surtout si le cagoulé porte en plus un bâillon. (comme indiqué plus haut). Il est évident que le dominé ne doit jamais rester seul. Il faut aussi avoir sous la main des ciseaux pour pouvoir réagir au moindre malaise.

Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Moi et le sexe tout en images
Moi et le sexe tout en images
Publicité