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Moi et le sexe tout en images
19 octobre 2006

3 Ma Sexualité à l’Université Position de chevauchement ou dite d'AndromaqueDe la flagellation comme moyen aphrodisiaque (1re p

Ma Sexualité à l’Université

Donc, j'ai 18 ans. Je fais des études supérieures. Libération : tu vas ou pas aux cours, tu fais ce que tu veux.
Premières "vraies" relations sexuelles. Les studios des cités étaient très surveillés et pas mixtes : les filles d'un côté et les garçons de l'autre entre les deux blocs un garde-chiourme. Si tu osais passer la nuit chez une fille et que tu étais dénoncé (la délation, la jalousie, etc...est un vieux principe) tu étais exclu de ton studio sans autre forme de procès.

Premier contact avec le monde universitaire : le baptême (mot utilisé en Belgique pour le bizutage)

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Cérémonie éthylo-folklorique. Pas de baptême mixte et un très timide baptême entre étudiantes.


Épreuve "terrifiante" :

A poil devant une horde sauvage à l'état éthylique déjà avancé, première sélection : concours de masturbation, temps mesuré, mesure de la longueur du pénis au bout de ce temps, la plus longue est d'office passé du "bleu" au "poil" c'est à dire fait partie de la communauté.


Pour les autres, "sévices" divers: (légères) décharges électriques sur les testicules, et ainsi de suite.


(à suivre : univ et orgies)

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. Position de chevauchement ou dite d'Andromaque 

Ce brave homme Hector était l'époux d'Andromaque et dans ses rapports sexuels avait l'habitude de le chevaucher. (L'Iliade d'Homère). 

La femme chevauche l'homme allongé sur le dos, elle s'enfonce sur le pénis en s'accroupissant, elle peut aussi s'allonger; Avantage : la femme ne doit pas "porter l'homme" et est libre de ses mouvements, elle peut contrôler le rythme qui lui convient. Elle fait tout et domine l'homme. A conseiller à celles qui ont des problèmes d'orgasme par pénétration,  pour éviter une éjaculation précoce, Elle permet aussi des temps de pause. C'est ma position favorite. Tout en restant "soudés" on peut rouler sur le côté et se placer homme allongé sur la femme et recommencer la position classique du missionnaire. 

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De la flagellation comme moyen aphrodisiaque (1re partie)

 

La flagellation, du mot latin flagellum, fouet, verge, consiste à frapper certaines parties du corps, soit avec des verges, soit avec un fouet à bouts de corde ou à lanière de cuir.

Dans l’anaphrodisie et l’impuissance, la flagellation s’applique sur le dos, les jambes, les fesses et les cuisses, afin de déterminer l’afflux du sang à la peau et dans les muscles sous-cutanés ; la violente stimulation dont les parties flagellées deviennent le siège, gagne rapidement le système génital, au moyen de la communication qui existe entre les rameaux nerveux de la moelle épinière et ceux de ce système. Les Grecs et les Romains, qui connaissaient les propriétés de la flagellation, en usaient largement pendant les saturnales, où les deux sexes se fouettaient mutuellement pour mieux accomplir le doux mystère.

Hippocrate et Asclépiade préconisaient la flagellation contre beaucoup de maladies. Musa, médecin du siècle d’Auguste, et Galien faisaient marcher la flagellation avec le bain froid, pour guérir l’impuissance par suite de faiblesse ou d’inertie.

Le poète Pétrone vantait la flagellation, et surtout l’urtication, comme un excellent procédé employé, par les débauchés de Rome, pour ranimer leurs forces amoureuses éteintes au milieu des orgies.

Arétée, Cælius Aurélianus, Rhazès et plusieurs autres grands praticiens citent dans leurs ouvrages des cures prodigieuses opérées par la flagellation. – Campanella rapporte l’exemple d’un prince qui ne pouvait s’acquitter du devoir conjugal envers sa femme qu’après s’être fait rudement fustiger ; un valet habile et vigoureux était chargé de cet important service.

        Cælius Rhodigenus nous a raconté l’histoire d’un grand seigneur qui se servait du même procédé afin de pouvoir suffire aux exigences de son épouse. Il se faisait fouetter jusqu’au sang avant l’action, et si, quelquefois, par respect ou par pitié, le valet armé du fouet modérait les coups, le seigneur entrait en fureur, et ordonnait qu’on redoublât la fustigation jusqu’à ce qu’elle lui arrachât des cris de douleur ; alors seulement la partie génitale entrait en érection et pouvait satisfaire les désirs de sa femme et les siens

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Meïbomius, célèbre anatomiste, composa un poème sur la flagellation, dans lequel il engage fortement les impuissants à se faire fouetter s’ils veulent recouvrer leurs facultés viriles. 

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