5 Suite de l'Univ et début du service militaire Le bondage (petit aperçu) La position du Missionnaire

Suite de l'Univ et début du service militaire 

A l'époque le service militaire en Belgique durait de 12 à 15 mois.

Master en Chimie, me voilà incorporé dans l'armée belge. D'abord en Belgique, aidant les sous-off de carrière à faire le mur de la caserne : compensation tuyaux sur les lieux interdits aux ploucs (cafés "mal famés", arrières salles "à pipes", etc.).

Me voilà en Allemagne où je découvre le "vie militaire" : bagarres éthylo-linguistiques (entre Wallons et Flamands) à la cantine fermée à 22 heures, beuveries dans les chambrées après, les cantinières lesbiennes, les gardes, le plouc au pénis de 25 cm, l'homosexualité militaire érigée en système, les cafés des bords du Rhin (Cologne) où la pute disait aux francophones :" che zais vaire l'amour à la franzèse" !

Quelques permissions d'une semaine (corruption de l'adjudant contre médicaments gratuits)
(à suivre).

Pratiques sexuelles spéciales 

Le bondage (petit aperçu) 

Origines : en anglais to bind, ligoter bond, lien

Une pratique érotique souvent assimilée au SM, alors que c'est tout à fait différent.
Dans le bondage, la contrainte est un but, dans le SM c'est un outil parmi d'autres. Dans le bondage il n'y a pas de relation dominant-maître, dominé-soumis-esclave, humiliation-servitude comme dans le SM.
C'est une tradition au Japon (Shibari).
Aux USA (B & D) bondage et discipline.
En France "éducation anglaise" (BD plus flagellation) cf. les collèges anglais.
Le bondage moderne puise son origine dans la société japonaise du XVe siècle où la corde était utilisée comme système de torture pour les criminels.
La moins forte, utilisation pour flageller et fouetter; par degré croissant suivant la gravité de la faute, flagellation avec une corde à laquelle on attachait une pierre; création de compressions sur le corps aux séquelles irréversibles, suspension par les poignets ou les chevilles. Généralement sauf pour la flagellation, l'issue était fatale.

L'art moderne des jeux de cordes est tout autre. Une relation de confiance entre celui qui attache et l'attaché(e).

Pourquoi aimer se faire ligoter ? Pour une libération des inhibitions et des responsabilités (une sorte de remise de pouvoir au ligoteur). On peut aimer la sensation d'impuissance (essais de rompre ses liens, ses chaînes, bracelets, colliers, baillons,..). Le bondage est souvent cependant utilisé comme complément au SM.

Pourquoi aimer ligoter les autres ? Celui qui attache peut éprouver du plaisir dans la soumission érotique de l'attaché(e).
Le plaisir doit être partagé, la personne qui attache ne doit pas écouter que son propre plaisir car le but ne serait pas atteint.
Le bondage est un art et/ou une pratique sexuelle qui se pratique autant habillé que nu.

La position du Missionnaire

La plus classique, la plus utilisée, rassurante, très simple, convient pour les débutants
Le nom est lié à l'évangélisation de certaines peuplades. Position très favorable à la procréation. Les indigènes évangélisés l’avaient remarqué et le mot est resté

La pénétrée sent bien le partenaire et peut le caresser, relativement confortable mais ne pas écraser la pénétrée et déconseillée en cas d'obésité. Permets de caresser les seins et éventuellement stimuler le clito avec les doigts et aussi frotter les deux pubis l'un sur l'autre.