18 Isa, Rosemond et la villa Epilation sexe masculin Coït intercrural

Isa, Rosemond et la villa

Voilà arrivé le jour de l'invitation à passer un week-end chez son amie.

Je m'étais arrangé pour inventer un stage d'études à Paris (eh oui Paris a servi souvent d'alibis) !

.

L'ennui, c'est que Anne commençait à avoir des doutes (elle avait pris des renseignements chez mon chef qui était heureusement complice.) Elle m'a accompagné au train de Paris qui à cette époque s'arrêtait encore avant Paris (Mons en Belgique). J'ai donc fait un aller-retour Bruxelles-Mons-Bruxelles où m'attendait ma voiture et Isa.

"On va où ?" -- "à la campagne".

"Elle fait quoi ton amie ?" -- "Rien" -- "Elle ne travaille pas à

la Poste

?" -- "Non"……………………..

"Elle vit seule ?" -- "Pas tout à fait".

Nous arrivons, une grosse villa au toit de chaume. Le style "pauvre".

L'amie nous attendait. Souper agréable, aux chandelles, repas préparé par un traiteur.

Voilà vos chambres, ??!!

Vos ? Oui ici la tradition est de que chacun dorme dans des chambres séparées (!!!).

Soit, c'était une invitation.

Ne pouvant dormir, je me promène discrètement. J'entends des chuchotements dans la chambre de Rosemonde. Par une ouverte découverte par hasard, je vois les deux femmes enlacées, se léchant, se masturbant, etc... ne laissant aucun doute sur  leur sexualité.

Le matin, motus et bouche cousue. Promenades diverses avec Isa dans la campagne. "ton amie ne serait pas lesbienne par hasard ?" -- "Qu'est ce que tu vas croire. Elle te réserve d'ailleurs une surprise pour ce soir".

84% des hommes s'épilent le sexe ?

le temps où lle temps où les corps très poilus, façon Aldo Maccione, représentaient le summum de la virilité est bel et bien révolu. Une petite enquête réalisée à la demande de Philips le prouve : 70% des hommes prennent soin de leur système pileuxes corps très poilus, façon Aldo Maccione, représentaient le summum de la virilité est bel et bien révolu.

Pour les aider, Philips a lancé un rasoir/tondeuse pour le corps.

C'est rigolo : pour promouvoir son nouveau produit, la firme Philips, a fait parvenir des... kiwis. !

Et parmi ceux qui s'épilent le corps, 84% s'attardent sur leur sexe,

27% se font un torse lisse comme un bébé,

17% se rasent le dos et 16% se focalisent sur les fesses !

(n.d.l.r. : personnellement, je serais un mauvais client, les poils pubiens sont pour moi sacrés, j'ai deux trois poils sur la poitrine, un et demi sur le dos, aucun sur les fesses ou du moins ils ne se voient pas car ils sont blonds).

Sur ce nouveau créneau de l'épilation masculine, Remington a déjà lancé voici peu une toute nouvelle tondeuse destinée spécialement... au sexe. Philips a présenté à son tour le body groom pour des corps imberbes.

L'appareil, 100% étanche peut s'utiliser sous la douche ou dans le bain.

Chez Remington, toute une gamme de nouveaux appareils d'épilation est également disponible mais pour les dames cette fois.

Une petite enquête révèle ici aussi qu'un quart des femmes s'épilent juste le contour du maillot, tandis qu'un autre quart se fait la totale, le rasage intégral. Une femme sur trois laisse juste une ligne au centre.

Le coït intercrural

latin inter-, « entre » et crura « jambes » est une pratique sexuelle relativement répandue au Japon (Sumata)

C'est une simulation d'une pénétration vaginale par l' "enserrement" du sexe masculin entre les cuisses de sa ou son partenaire.

En fait, c’est une branlette espagnole faite avec les cuisses, c’est moins scientifique.

Au Japon, cette position est fréquemment pratiquée dans les lieux de prostitution car elle évite, à condition que les partenaires fassent attention, tout contact entre les organes génitaux, ainsi que le contact entre le sexe de la femme et le sperme.

Elle est également pratiquée chez les homosexuels ne souhaitant pas de rapport anal ou oral.

Elle est censée procurer à l'homme des sensations équivalentes à une pénétration vaginale. (Moi je doute).

La femme, elle, ne bénéficie que des caresses de son partenaire et du stimulus psychologique qu'elle peut tirer de la situation et notamment de ne pas voir son amant, lui permettant de fantasmer aisément.

Variantes : sumata

La femme est au-dessus de son partenaire allongé. Le frottement peut alors être obtenu en serrant les cuisses en utilisant une main pour plaquer le sexe contre son ventre (auquel cas elle peut faire face ou non à son partenaire).

Autres possibilités

Faire passer le sexe non pas devant mais derrière et le plaquer entre les fesses de la partenaire - qui est alors située au niveau du ventre et non plus des cuisses et qui fait de préférence face à l'homme.

Relevant le buste, la femme peut rester en position de levrette. Le sexe pourra alors frotter la zone des lèvres et du clitoris. La femme peut également être étendue sur un plan (lit, table), les jambes à la verticale.

Cette position était une forme commune de sexualité en Grèce antique dans les relations pédérastiques.

Selon la représentation la plus commune des vases, l' « errasse » (l'homme mûr) étreint le torse de l' « érogène » (le jeune homme), ploie les genoux, courbe la tête et insère son pénis entre les cuisses de l'éromène sous le scrotum.

L'importance relative de cette pratique par rapport à celle de la sodomie est difficile à évaluer. Les vases ne décrivent la sodomie homosexuelle qu'entre personnes de même âge, participants ivres d'un banquet.

De nos jours, elle est pratiquée en vue d'éviter la pénétration, pour des raisons religieuses, pratiques (réduction du risque de grossesse et de MST) ou, dans le milieu gay, pour éviter la sodomie plus dangereuse et parfois considérée plus répugnante.

Ainsi Oscar Wilde fut initié à cette pratique par son premier amant homosexuel car il n'était pas attiré par une relation orale ou anale.