12 Cuisiner à poil Stimulation anale

Cuisiner à poil, c'est spécial

Anne a commencé des manies de plus en plus hors normes. Ainsi, elle s'est mise à cuisiner presque à poil. Chaleur du four, j'en doute.

Habillement : sur son corps nu, une sorte de blouse transparente d'infirmière, les pieds nus dans des tongs.

Si vous connaissez des cuisinières habillées de la sorte, me les signaler. Je doute qu'il en ait beaucoup.

Après le repas, elle va « s'habiller », chemisier moulant, mini-jupe en cuir moulant ses petites fesses, pieds dans des chaussures plates.

Le lit bienvenu pour un REPOS (travail le lendemain).

A moitié endormi, je sens une main. Où ? Devinez. Elle commence une masturbation du tonnerre suivie d'une fellation (sa spécialité).

Je veux me positionner. NON NON, elle me présente sa bouche, me demande d'enfoncer mon outil le plus profondément dans sa gorge et d'y éjaculer.

Petit à petit la routine sexuelle s'est installée. Anne avait des problèmes de "fontaine". Elle était obligée de mettre des Pampers au travail (à 35 ans, c'est gênant).

L'ablation de ses glandes de Bartholin fut décidée. Malgré celle-ci, la sécrétion s'est maintenue dans la normale. Pour des détails voir http://www.vulgaris-medical.com/front/?p=index_fiche&id_article=704

Pour ne pas rester en reste, j'ai eu une torsion du testicule gauche (cas très rare) provoqué vraisemblablement par un kyste sur l'épididyme (opération urgente dans les 3 heures aussi non nécrose du testicule et obligation d'ablation. (N.B. : il existe des prothèses de testicule en silicone). Pour des détails voir http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1158_torsion_testic.htm 

L'ablation partielle de l'épididyme fut décidée et bien sûr l'extraction du kyste. Pas de séquelle, je bande toujours et la suite va montrer que c'est sans importance pour la fertilité.

Puis vint le mariage, 2 enfants, la déglingue des relations sexuelles (crise chronique de puritanisme religieux chez Anne, pseudo fatigue au lit permanente (vous connaissez !)

D'une façon ponctuelle je retournais chez des "anciennes" : Danièle toujours célibataire et en manque), Jeannine (mariée avec un homosexuel). Mon chef de labo connaissant mes problèmes me proposa un jour de coucher avec sa femme, étonnant : il avait une maîtresse avec qui il baisait la journée pendant ses congés (pas chez lui) et pour être sûr que sa femme ne viendrait pas l'espionner, il m'expliqua.

Sa femme en avait marre de lui et vice et versa.

Me voilà donc chez lui avec sa femme, lui chez sa maîtresse célibataire. Le tout synchronisé.

Grande, mince, fine, faisant l'amour comme du temps de Ronsard, aimant la douceur, la lenteur.

Une grande distinction, une pudeur calculée, le contraire d'une silencieuse, extériorisant très fortement sa jouissance par des cris qui m'excitaient naturellement fort et demandaient une concentration pour ne pas éjaculer précocement.

Mais je cherchais autre chose. Pourquoi pas une maîtresse (pas au sens BDSM) ?

Enfin la perle rare : en instance de divorce, grande blonde pulpeuse, aux cuisses à vous casser les couilles comme des noix (avec 3/4 de couille gauche, il faut faire attention).

A suivre ; Le choc de la première rencontre.

La stimulation anale

La stimulation anale peut se pratiquer aussi bien chez les hommes que chez les femmes, avec quelques variantes cependant..

Chez les femmes : 

Le rectum féminin est séparé du vagin par une fine paroi de chair fortement pourvue en vaisseaux sanguins et terminaisons nerveuses.  responsables d'une partie du plaisir sexuel chez la femme.

La paroi rectale étant plus riche en terminaisons nerveuses que la paroi vaginale, 
la pénétration anale est une source de plaisir sexuel et non fantasmagorique. Certaines personnes - hommes et femmes - avouent les apprécier énormément, d'autres les détestent, d'autres encore n'ont jamais testé.

Le plaisir ne doit cependant pas se transformer douleur !
Le rectum physiologiquement parlant n'est pas fait pour y faire entrer des "jouets" ni un pénis. Il est conçu y faire sortir principalement les fèces.

Il faut donc y pénétrer doucement.

il faut détendre les muscles rectaux pour cette forme de stimulation, utiliser la manière progressive

Les premiers contacts seront superficiels puis de plus en plus appuyés, pratiqués avec les doigts ou la langue en n'oubliant pas de lubrifier en abondance le dit anus : on peut utiliser la salive ou les sécrétions vaginales. Ce qui fait mal, c'est en effet l'absence de lubrification.

Lécher l'anus de votre partenaire n'est pas sans danger même si ce peut être extrêmement érotique. La faune microbienne de l'anus peut être extrêmement nocive dès lors qu'elle se retrouve dans l'estomac ou la bouche.

Méthodes :

aressez le pourtour de l'anus avec la  langue ou un doigt humidifié puis pressez doucement l'entrée de l'anus, puis plus fortement afin "forcer " légèrement l'entrée...

Il faut que la femme sente que cela ne fait pas mal et que cela procure une excitation et du plaisir qui vont la détendra car il faut éviter contraction.

Vous pouvez maintenant enfoncer progressivement d'autres doigts aux ongles coupés très courts en pratiquant une stimulation vaginale et/ou clitoridienne et en stimulant le périnée

Si détendue, elle semble être prête à aller plus loin, pressez votre gland lubrifié contre l'entrée de son anus et observez la réaction. t

Si elle apprécie, pénétrez doucement et très progressivement sans pratiquer de va et vient. Il faut qu'elle se détende au fur et à mesure de l'avance de la pénétration.
Lorsque vous avez pénétré complètement, laissez-la se détendre et commencez le rythme classique en essayent de stimuler également, en même temps, son clitoris

L'anus étant plus étroit que le vagin, il est extrêmement plaisant à pénétrer pour l'homme, sans compter l'excitation que cela procure.

L'idéal est de trouver la position qui convient le mieux à votre partenaire pour ce type de rapport. Certaines femmes préfèrent être assises sur l'homme pour mieux contrôler la profondeur de la pénétration. D'autres préfèrent être couchées sur le ventre ou en position de cuillère dite 99 ou en levrette.

Pour éviter de graves infections vaginales, ne passez JAMAIS directement de l'anus au vagin (que ce soit avec les doigts ou avec le pénis).

La pénétration peut se faire bien entendu au moyen de jouets sexuels ce qui évite les MST mais est d'après moi moins exigeant et ne donne en tout ca à l'homme moins de satisfactions.

De cette façon aussi une femme peut sodomiser une femme ou un homme à l'aide d'un gode-ceinture sorte de faux pénis, éventuellement monté sur harnais

Attention toutefois à ne pas pratiquer trop souvent la pénétration anale, car elle peut, à terme, distendre les muscles rectaux qui ne rempliraient plus leur fonction habituelle (sic).

Une pénétration trop brutale peut provoquer micro-coupures ou saignements. La sodomie est un facteur de création d'hémorroïdes, de fissures anales, voir (pour les pratiques extrêmes dérivées de la sodomie) de prolapsus anal ou d'incontinence anale.

Pour les hommes : 

La chose est différente chez les hommes.

La stimulation de la prostate, qui est en quelque sorte le point G masculin, contribue à l'orgasme "éjaculatoire" Le passage obligé étant l'anus.

.La stimulation doit commencer en surface ou à quelques centimètres de profondeur à peine, à l'aide de la langue ou d'un ou plusieurs doigts aux ongles coupés très courts et très lubrifiés (comme plus haut chez la femme).

Méthodes :

lécher le pourtour et le centre de l'anus avec le bout de la langue fourchue, faire de même avec le plat de la langue,

forcer l'entrée du bout de la langue et appliquer son visage et sa bouche le plus fort possible,

caresser du bout des doigts,

appuyer du plat des doigts sur toute la surface de l'anus,

pénétrer l'anus du bout des doigts

Ces techniques doivent être synchrones avec une stimulation d pénis et des bourses, même si des stimulations anales provoquent chez certains hommes des orgasmes et des éjaculations spontanées sans masturbation. 

Pénétrations profondes : soit si on est hétéro avec des plugs masculins, voire par une femme munie un gode pénis-ceinture (ce qui existe généralement les deux partenaires) en plus si on est homo, bien sûr "l'instrument de travail" de l'autre homme.

Sodomie animale : On a relevé son existence chez certains animaux, notamment chez des primates (chez les chimpanzés ou les bonobos par exemple) ou les chiens.

Sodomie, société et lois :

La pratique de la sodomie pour préserver l'hymen des jeunes femmes est réapparue en France dans les années 2000, dans les grands ensembles urbains habités par des populations à tradition de " virginité avant le mariage" malgré que leur religion la réprouve sévèrement dans certains pays.

En anglais, sodomy ne désigne pas seulement la pénétration anale. Ainsi sodomy law, la loi qui régissait les pratiques acceptées ou interdites dans tel ou tel État américain, il fallait comprendre sodomy comme pratique sexuelle jugée déviante, parmi lesquelles, outre la sodomie elle-même, étaient assimilés la fellation et le cunnilingus. Ces lois étaient une manière d’interdire l’homosexualité. Elles s’appuyaient sur un cliché faisant des homosexuels mâles des sodomites, alors que cette pratique n’est pas acceptée par tous les homosexuels et que beaucoup d'hétérosexuels la pratiquent aussi.

’idée qu’un homme pénètre un autre homme portait atteinte aux stéréotypes sexistes voulant que l’homme soit le pénétrant actif, la pénétrée étant passive et considérée comme "inférieure".